Un juge français a récemment rejeté la demande de l’État gabonais de se constituer partie civile. Ses conclusions, sévères, ont fuité dans la presse. Les avocats du Gabon ont annoncé faire appel de cette décision. Le porte-parole de la présidence a lui dénoncé un « acharnement ».
Face à la presse gabonaise ce mercredi, Jessye Ella Ekogha a dénoncé la « multiplication de la divulgation d’informations confidentielles dans des procédures en cours », qui « n’honore pas la justice française ». Ce qui constitue, selon lui, « une volonté ferme de nuire à l’image du pays ». Le porte-parole de la présidence réagissait à la publication...