Depuis l’arrestation de plusieurs journalistes togolais puis de l’activiste Fovi Katakou, les réactions s'enchaînent. Partis politiques, organisations de la société civile, tous demandent leur libération. Même la conférence des évêques s'est émue, plaidant la cause de toutes ces personnes.
Avec notre correspondant à Lomé, Peter Sassou Dogbé
En plus des partis politiques de l’opposition, plusieurs organisations de la société civile ont fait part de leur consternation : le mouvement du 5 octobre par exemple, ou le mouvement Nubuéke, dont est membre Fovi Katakou. Edou Kossi aidait Fovi Katakou dans ses activités. Il se dit sous le choc mais affirme que son organisation ne baissera pas les bras et continuera ses actions de mobilisation.