Le médiateur de la Cédéao pour le Mali a quitté Bamako mardi après deux jours de consultations avec les autorités de transition. Goodluck Jonathan a exprimé sa « préoccupation » sur « l’insuffisance d’actions concrètes dans la préparation effective du processus électoral ». En clair, sur la volonté des autorités de respecter leurs engagements sur la durée de la transition, censée prendre fin avec les scrutins présidentiels et législatifs, théoriquement prévus en février 2022.