Ces soldats sont suspectés d’avoir participé à la tuerie de Ngarbuh, en février dernier, dans le Nord-Ouest, une région séparatiste. Dans la nuit du 13 au 14 février, au moins 23 civils avaient été tués, selon l’ONU. Initialement, Yaoundé avait nié toute responsabilité de ses militaires dans cette tuerie qui avait provoqué un tollé international.