Une réunion de chefs d’État sur la situation au Mali et au Sahel s’est tenue mercredi 25 septembre en marge de l’Assemblée générale de l’ONU, en présence notamment du secrétaire général de l’ONU et du ministre français des Affaires étrangères.
Les présidents du G5 Sahel et de la Cédéao ont voulu cette réunion comme le point d’orgue de leurs appels répétés pour plus de soutien financier et politique de la communauté internationale.
Une salle de conférence comble dans la fourmilière de diplomates qu’est le siège de l’ONU et à la tribune, les présidents des pays du G5 Sahel, mais aussi le chef de la diplomatie algérienne. Au centre, le secrétaire général Antonio Guterres, devant les délégations attentives de dizaines d’États.
C’est lui qui a ouvert la séance et qui a donné le ton. « Je crains que nous ayons collectivement échoué à enrayer les causes profondes de la crise, a-t-il lancé. Et partout les civils en payent le prix. » Il a aussi redit ce qui est ...