Deux jours après deux nouvelles attaques non revendiquées à Yoro et Gangafani, deux villages dogons situés près de la frontière avec le Burkina Faso, les Maliens du centre doutent de la capacité des autorités à empêcher de nouveaux massacres.
Comme lors des massacres de Sobane et d'Ogossagou notamment –, on sait toujours assez peu de choses des attaques non revendiquées du 17 juin