En Algérie, le mouvement anti-système s’amplifie. Après les magistrats, une quarantaine de maires se joignent à la mobilisation populaire et refusent désormais d'organiser la présidentielle du 4 juillet prochain. Un scrutin organisé à la suite de la démission d’Abdelaziz Bouteflika. Mais les Algériens jugent ce départ insuffisant et ...