« Ce qui se passe actuellement au pays comme actes de violence ciblés contre des citoyens congolais, contre des parlementaires pour protester contre des propositions de loi constitue une régression nette de notre démocratie pour laquelle tout le monde prétend se battre », a réagi ce mercredi 24 juin le Front commun pour le Congo (FCC).
Le regroupement politique dont Joseph Kabila est autorité morale, accuse le parti présidentiel d’être à la tête de saccages survenus aujourd’hui à Kinshasa. Au cours d’un point de presse tenu ce mercredi, Néhémie Mwilanya, coordonnateur du FCC déplore le silence du chef de l’Etat :
« C’est le par...