« Si on veut accuser l’armée comme source d’insécurité, ça c’est l’outrage à l’armée. Nous nous sommes donnés corps et âmes jusqu’au sacrifice suprême. Les éléments des FARDC tombent sur le champ d’honneur », a affirmé le lieutenant Jules Ngongo.
D’après lui, les assaillants auteurs de l’insécurité à Djugu sont à chercher au sein de la population. Et le président de l’assemblée provinciale devrait les sensibiliser pour qu’ils déposent les armes.
« Et à l’heure où le chef d’Etat-major général adjoint de l’armée est ici en Ituri, et qu’un élu fasse ces genres de déclarations, c’est désolant », a-t-il poursuivi.
La société civile de la chefferie de Bahema Nord a annoncé dimanche 16 juin, qu’environ cent quarante nouveaux corps sans vie ont été découverts la veille, dans la loca...