L'ONG fait allusion à la violente répression qui a visé le mois dernier des manifestants appelant à la démission du président malien Ibrahim Boubacar Keïta. L'ONG réclame une "enquête approfondie" sur le rôle qu'aurait joué la Force spéciale antiterroriste dans ces événements.
Dans son communiqué, Amnesty Internationale note que "des agents de sécurité et des policiers ont tiré à balles réelles sur les manifestants, tuant quatre personnes" le 11 juillet devant le domicile de l'Imam Mahmoud Dicko. L'ONG affirme également que plusieurs personnes ont été tuées par des balles perdues alors qu'elles ne participaient pas aux ma...