Le 23 avril de chaque année, le monde célèbre la journée de la langue anglaise. Alors qu’en 2012, le Burundi avait introduit une demande d’adhésion dans la communauté des pays anglophones, voici quelques raisons pour lesquelles le pas devrait être amorcé pour relancer sa candidature.
En octobre 2012, le Burundi devenait le second pays de la région des grands lacs, traditionnellement francophone, à succomber au chant des sirènes de la grande famille anglophone. Le Commonwealth. L’Inde, le grand pays de cette famille, avait même accepté de soutenir sa candidature. La course s’accélérait.
Pour tâter le terrain, il y avait six ans que l’anglais était enseigné depuis l’école primaire. Le point culminant se dressa avec l’officialisation de la langue anglaise par le Parlement, en 2014. Mais aujourd’hui, la vitesse est au ralenti et voici les raisons qui devraient motiver sa relance.
Une bonne intégration régionale
Le Burundi a adhéré à la communauté est-africaine qui utilise l’anglais comme langue de travail. En plus, quatre des six pa...