Au Kenya, la présidentielle se tiendra en août prochain. La course au pouvoir se déroule aussi sur les réseaux sociaux. Bien qu'ils le nient, les principaux candidats recrutent des influenceurs pour promouvoir leur image.
Ils sont Kényans, ils sont jeunes, ils ont beaucoup de followers et ils sont payés par des équipes de campagne pour relayer les messages des candidats. « C'est un phénomène que nous avons observé. Le problème c'est que toutes les informations qu'ils diffusent ne sont pas exactes. L'absence d'application des lois réprimant la désinformation et les discours de haine leur permettent d'agir librement », explique Alphonce Shiundu, rédacteur en chef d'Africa Check Kenya, une ONG de vérification de l'information.
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