Au Tchad, plus d’un mois après le massacre du 9 février 2022, qui a opposé éleveurs et agriculteurs et occasionné une douzaine de morts à Sandana dans la région du Moyen-Chari, au sud du Tchad, la procédure judicaire annoncée par les autorités n’avance pas. Les cinq personnes arrêtées n’ont pas été traduites devant les tribunaux. Les avocats des victimes dénoncent l’inaction des pouvoirs publics.
Avec notre correspondant à Ndjamena, Madjiasra Nako
Devant la presse de Sarh dans le sud du pays, maître Midaye Guérimbaye, un des...