Pour que les discussions à Doha reprennent, gouvernement tout comme groupes armés doivent se mettre d’accord pour désigner dix délégués. Et, du côté des groupes armés, il n’y pour le moment pas de consensus.
Avec notre envoyée spéciale à Doha, Florence Morice
« Les échanges sont difficiles », concède un participant. « Difficile et vif », renchérit un autre. « C’est un marathon », confie un troisième. Dès son ouverture, le pré-dialogue tchadien organisé au Qatar a été suspendu