Au Togo, les arrestations se poursuivent dans les milieux de la presse et de la société civile. Depuis vendredi 10 décembre, trois journalistes et un activiste ont été inquiétés. Dans un communiqué, l'ONG Amnesty International dénonce ce qu’elle qualifie d’arrestations « arbitraires » et accusent les autorités de vouloir « faire taire les voix critiques ». Dans la capitale Lomé, organisations de presse et société civile se mobilisent pour exiger leur libération.
Avec notre correspondant à Lomé, Peter Sassou Dogbé
Au total, ce sont cinq organisations qui dénoncent les interpellations de ces derniers jours au Togo. Deux directeurs de publication, Continuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE