Six jours après la décision du président Kaïs Saïed de limoger le chef du gouvernement et de suspendre le travail du Parlement, la première formation politique du pays, Ennahdha, appelle à un dialogue national mais tente aussi de faire pression, via une campagne médiatique, pour que le président revienne sur ses décisions.
Avec notre correspondante à Tunis, Lilia Blaise
Au siège du parti islamo-conservateur, Ennahdha, le calme règne ce jeudi 29 juillet, malgré les chambardements des derniers jours. Ali Larrayedh est le vice-président du parti et l'ancien chef du go...