C'est aux confessions religieuses, dont huit sont reconnues en République démocratique du Congo, de désigner le candidat-président de la Commission électorale nationale indépendante ainsi qu’un autre membre pour la plénière. Sur les trois précédents cycles électoraux, à cette phase du processus, elles ont toujours été divisées, l’Église catholique se retrouvant seule face aux autres et dénonçant une mainmise du régime sur la désignation du numéro un. Mais vendredi, toutes ont dénoncé conjointement des menaces sans en préciser l’origine.
Avec notre envoyée spéciale à Kinshasa, Sonia Rolley