En Algérie, des entreprises sont sommées par la présidence de mettre fin à des contrats avec des sociétés étrangères, notamment marocaines, qui pourraient porter atteinte au pays et à sa sécurité. Selon cette missive du président algérien, datée du 25 avril (mais dont la presse locale vient de se faire l'écho), les entreprises concernées disposent d'un délai de dix jours pour se conformer à ces instructions.