Le maréchal Haftar et son rival Fayez al-Sarraj, chef du gouvernement d'union nationale basé à Tripoli ont accepté la trêve réclamée par la Russie et la Turquie, officiellement débutée samedi 11 janvier à minuit. Mais la situation reste précaire. Les deux parties commencent à s'accuser mutuellement de ne pas respecter cette trêve.
À ce stade, Il n’y a pas de communiqué officiel dans le camp du maréchal Haftar mais dans une interview à un média local, un général de son armée accuse ses adversaires d'avoir « déployé différents types d'armes » et notamment de « l’artillerie » dans plusieurs directions. Il dénonce une « violation » du cessez-le-feu et dit s'en tenir pour le moment aux dernières instructions reçues par le maréchal Haftar, à savoir respecter la trêve.
De l'autre côté, un des porte-parole des forces pro-GNA de Fayez al-Sarraj décrit à l'AFP une situation « calme ...