Le directeur des Affaires islamiques, rattaché au ministère de la Justice, a diffusé une déclaration officielle le jour du réveillon, en se basant sur la pratique comorienne de l'islam. Une interdiction de fêter Noël désavouée le soir même par le porte-parole du gouvernement.
Pour Noël, le directeur des Affaires islamiques a interdit « toute apparence indiquant l’implication des chrétiens dans leur joie aux Comores », embarrassant...