Au dernier jour du procès en appel de Teodorin Obiang dans l’affaire dite des « Biens mal acquis », et alors que l'avocat général a requis quatre ans de prison ferme et 30 millions d’euros d’amende, les avocats du vice-président de Guinée équatoriale ont demandé la relaxe.
« Votre décision ne doit être basée ni sur les émotions, ni sur la passion, ni sur une certaine morale, comme cela a été le cas jusque-là dans cette affaire, ont martelé les trois avocats de la défense, mais uniquement sur le droit. »
Me Tomo a d’abord demandé à la cour de se déclarer incompétente, au regard de l’immunité dont devrait bénéficier Continuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE