C’est un rebondissement dans l’affaire des violences sexuelles commises en République de Centrafrique par des casques bleus gabonais et burundais entre 2014 et 2015. Un audit interne des Nations unies, dont RFI a pu se procurer une copie, révèle de nombreux dysfonctionnements dans l’enquête menée dès 2016. Ils expliqueraient pourquoi de nombreuses accusations n’ont pu être confirmées, ni pourquoi l’enquête n’a pu réellement aboutir.
Avec notre correspondante à New York, Carrie Nooten
C’est une sévère autocritique que le service de contrôle interne de l’ONU - l’OIOS - a mené en diligentant cet audit. En effet, devant la liste accablante d’erreurs, on comprend pourquoi l’enquête sur Continuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE