Selon l’accord de paix de 2018, le chef rebelle Riek Machar devait rentrer au Soudan du Sud en mai dernier pour former un gouvernement d’union avec le président Salva Kiir. Une échéance reportée au 12 novembre prochain. Désormais, l’opposant demande un nouveau délai de six mois et c’est l’incertitude qui domine à Juba.
À Juba, c’est l’attente. Personne ne sait ce qui se passera dans une semaine. Hujum Muon est l’un des milliers de déplacés du camp Mangateen. Il place les politiciens devant leurs responsabilités.
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