Au Soudan du Sud, le 12 novembre, le chef rebelle Riek Machar doit rentrer à Juba pour participer à un gouvernement d’union nationale. Mais les groupes d’opposition estiment que les conditions de sécurité, notamment à Juba, ne sont pas garanties pour qu’il rentre au pays. En attendant, la communauté internationale perd patience.
Riek Machar devait rentrer en mai, mais après un passage éclair à Juba en septembre, il n’a toujours pas fait son retour définitif dans la capitale sud-soudanaise. Et malgré le délai accordé jusqu’au 12 novembre, son retour, et donc sa participation à un gouvernement d’union nationale s’annonce, tou...