Au Burundi, l'agrément mi-février du parti Congrès national pour la liberté (CNL) du principal opposant burundais Agathon Rwasa n'a rien changé pour ses militants qui continuent à être arrêtés en masse, aujourd'hui comme hier, et c'est toujours le même motif qui est invoqué. Les nombreux militants d'Agathon Rwasa avaient poussé un «ouf» de soulagement, le 14 février dernier, lorsque leur nouveau parti a été créé, mais ils ont vite déchanté.
Le nouveau parti d'Agathon Rwasa parle aujourd'...