Deux jours après de nouvelles manifestations historiques contre le président Abdelaziz Bouteflika, le régime algérien n'a toujours pas réagi. Sa marge de manoeuvre est extrêmement réduite pour sortir de la crise.
Toujours pas de réaction officielle des autorités algériennes, 48 heures après les marches de vendredi contre le régime. Le message des Algériens est pourtant clair : ils rejettent en bloc le report de la présidentielle du 18 avril. Initiative qui ouvre de facto la voie à une prolongation du mandat présidentiel d'Abdelaziz Bouteflika, au pouvoir depuis 1999.
<...