Après le remaniement ministériel, censé symboliser la mise en œuvre de l'accord de Khartoum conclu le mois dernier entre groupes rebelles et autorités centrafricaines, plusieurs mouvements ont exprimé depuis dimanche leur insatisfaction. L'Union africaine, principal facilitateur de ce texte, appelle « au calme et à la retenue ».
Sur les quatorze groupes signataires de l'accord de Khartoum, six seulement ont obtenu des portefeuilles dans le gouvernement formé dimanche. Une équipe formée de 36 ministres. Résultat : une cascade de protestations et de frustration. Au moinsContinuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE