A cette difficulté, s’ajoutent les pluies et la qualité de latérite non adaptée.
Le chef de section d’ingénierie de la MONUSCO, Anani Kossi, déplore cette situation qui inquiète la population locale :
« Il faut reconnaitre que c’est une route principale qui relie deux villes, entre deux Etats. C’est une route qui est énormément sollicitée tous les jours. Les travaux effectivement avaient démarré. Ça évolue. ...