Accusé par l’ONGD Fond de Solidarité des Victimes de Guerres en Province de la Tshopo d’un “détournement massif” dans la distribution des fonds de prise en charge des victimes des guerres dans la ville de Kisangani, le ministre sortant des Droits Humains André Lite dément. Dans une interview exclusive accordée à ce sujet à POLITICO.CD, le ministre des Droits Humains a d’abord déploré le fait qu’il n’a pas donné sa version de fait dans l’article qui l’incrime.
André Lite fait savoir “avoir fait les choses au grand jour” et insiste sur le fait qu’à Kisangani, lors de la cérémonie de remise des fonds de “réhabilitation” aux victimes, “tout le monde a vu” comment il a remis l’argent à sieur Lembalemba, président de “toutes les victimes”.
“À Kisangani nous avions lancé un communiqué. Lors de la cérémonie à l’hôtel du...