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IIe sommet virtuel sur le Covid-19: la pandémie semble refluer mais la situation reste contrastée

In this photo released by Xinhua News Agency, a staff member adjusts a robot at the construction site of a temporary hospital at the National Exhibition and Convention Center (Shanghai) in east China's Shanghai, Friday, April 8, 2022. China's largest city of Shanghai will soon begin lifting lockdown in communities that report no positive cases within 14 days after another round of COVID-19 testing, authorities said Saturday. (Jin Liwang/Xinhua via AP)
Ce 12 mai se tient un sommet virtuel sur la pandémie de Covid, co-présidé par les Etats-Unis, l’Allemagne qui est actuellement à la tête du G7, l’Indonésie à la tête du G20, le Sénégal à la tête de l’Union africaine et le Belize, à la tête de la Caricom (pays des Caraïbes). Il s’agit de la deuxième rencontre de ce genre. La première avait eu lieu en septembre dernier à l'initiative du président américain Joe Biden, et le renforcement de la vaccination dans le monde était l’un des sujets phares. Au programme de cette session : la vaccination toujours mais aussi la mise en place de moyens pour sortir de la phase aiguë de la pandémie ; car celle-ci n’est pas terminée, même si à l’échelle de la planète elle reflue. Le point sur la situation.

La pandémie régresse particulièrement en Europe. Le virus, en l’occurrence des sous-lignages d’Omicron -BA.1 et surtout BA.2-, continue de circuler activement mais à un niveau bien inférieur à ce qu’il a pu être il y a quelques semaines ; et de nombreux pays ont allégé les restrictions, comme le port du masque.

A l’échelle de la planète, la situation est toutefois un peu contrastée. Ainsi la Chine fait face à une épidémie, les habitants de Shanghai sont confinés. Depuis deux ans le pays était épargné grâce à sa stratégie Zéro Covid ; ce n’est donc plus le cas, et la forte contagiosité d’Omicron est en cause. La situation à laquelle est confrontée l’Empire du Milieu est « délicate », estime Arnaud Fontanet, directeur de l’unité d’épidémiologie des maladies émergentes à l’Institut Pasteur à Paris et professeur au Conservatoire national des arts et métiers. Selon lui, « la difficulté pour la Chine est que le niveau de vaccination des personnes âgées, les plus de 60 ans, et notamment les plus de 80 ans, est insuffisante, et avec des vaccins d’une qualité un peu inf�...   

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