En Algérie, le soutien apporté par Emmanuel Macron au président Tebboune a fait bondir une partie de l'opposition et des membres du Hirak. Dans une interview à «Jeune Afrique» vendredi 20 novembre, le locataire de l’Élysée avait qualifié Abdelmadjid Tebboune de « courageux » et avait annoncé qu’il ferait « tout son possible pour l’aider ». Des propos critiqués par plusieurs formations politiques, dont le RCD et le MSP, le principal parti islamiste.
Depuis un même mot revient chez plusieurs opposants au régime pour qualifier les propos du président français : « ingérence ». Une part...