La coalition Union pour le salut national, l'USN, et le Radde de l'ancien maire de Djibouti Abdourahmane Guelleh considèrent que les conditions techniques et politiques ne sont pas réunies pour des élections transparentes. Le MRD de Daher Ahmed Farah, de son côté, n'est toujours pas reconnu légalement, malgré le soutien de l'ONU. L'opposition mise donc plutôt sur la politique de la chaise vide face au président sortant, Ismaël Omar Guelleh.
Au sein de l'opposition djiboutienne, il y a au moins un consensus : l'élection présidentielle serait jouée d'avance. Pour le président de la coalition USN, Aden Mohamed Abdou, la Commission nationale électorale indépendante n'est pas compétente...
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