Les forces de l’ordre qui entouraient le domicile de Bobi Wine ont quitté les lieux ce mardi 26 janvier, tôt dans la matinée, un jour après que la Haute Cour de justice a demandé la libération immédiate de l’opposant. BobiWine s’est adressé à la presse et aux responsables de son parti à son domicile, à Magere. S’il a une nouvelle fois dénoncé des fraudes électorales et rejeté les résultats, il hésite encore à contester en justice les élections.
Avec notre correspondante à Kampala, Lucie Mouillaud
Toujours aucune réponse claire quant à la décision de Continuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE