Au Burkina Faso, les familles des personnes décédées durant leur garde à vue dans la nuit du 14 au 15 juillet dans les locaux de l’unité antidrogue se mobilisent pour la recherche de la vérité.
Après l’inhumation des corps, une dizaine d’organisations de la société civile, œuvrant pour la défense des droits de l’homme, ont reçu les familles des victimes avec pour objectif d’accompagner ces familles qui ont perdu leur proche durant leur détention dans les locaux de l’unité antidrogue. Plusieurs avocats viennent d’annoncer leur appui gratuit aux différentes familles.
Après une heure d’échanges, la dizaine d’organisations de la société civ...