Depuis la présentation de Mektoub, my love : intermezzo du cinéaste franco-tunisien Abdellatif Kechiche au Festival de Cannes, tout le monde ne parle que de « ça », des scènes de sexe non simulées. Et si l’on avait zappé le portrait le plus radical d’une femme libre de toute la compétition du plus grand festival de cinéma au monde ?