Lors d’une réunion convoquée par le ministre de l’Intérieur le 26 septembre 2019 à l’Hôtel Source du Nil, et qui a réuni les gouverneurs des provinces et les leaders des partis politiques, certains des leaders de ces partis ont demandé que le parti CNL soit suspendu ou même « radié » de la liste des partis politiques.
D’après Jean de Dieu Mutabazi, président du parti RADEBU, le parti CNL « a été infiltré » par les gens qui envoient des rapports à la Commission des experts des droits de l’Homme de l’ONU dirigée par Doudou Diène. Pour éviter cela, ajoute Mutabazi, « il aurait fallu refuser l’agrément de ce parti », et ainsi la question des gens qui vont accuser le gouvernement de violations des droits de l’homme a Genève serait réglée.
Pour Tite Bucumi, président du parti MSP Inkinzo, il faudrait « <...