Quel est le point commun entre l’attiéké, l’attoukpou, le gari, le kongondê ou l’agbaklaklo ? Toutes ces préparations sont à base de manioc, un tubercule dont on utilise tout : les feuilles, la chair, les racines. Abordable, plus digeste que les céréales, le manioc entre en particulier dans la composition des sauces, comme la sauce bawin, une spécialité du peuple guéré de l’ouest de la Côte d’Ivoire. La cheffe Prisca Gilbert nous en livre le secret dans La Vie ici.