Les faits avaient eu lieu en septembre 2020 dans la prison de Kasapa à Lubumbashi. Les ONG de défense de droits de l’homme, dont Amnesty international et Justicia ASBL, dénoncent le laxisme de la justice. Selon ces organisations, sur une cinquantaine de victimes, 16 sont tombées enceintes suite aux viols, d’autres ont contracté des maladies comme le VIH.