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POLITIQUE

Coup d’État en Guinée: silence et prudence au sein de la classe politique

The Guinean Special Forces arrive at the Palace of the People in Conakry on September 6, 2021, ahead of a meeting with the Ministers of the Ex-President of Guinea, Alpha Conde. - Guinean special forces seized power in a coup on September 5, 2021 arresting the president Alpha Conde and imposing an indefinite curfew in the west African country."We have decided, after having taken the president, to dissolve the constitution," said a uniformed officer flanked by soldiers toting assault rifles in a video sent to AFP. (Photo by CELLOU BINANI / AFP)

Des militaires des forces spéciales dirigées par le colonel Mamady Doumbouya ont pris le pouvoir le week-end dernier à Conakry. Ils ont dissous le gouvernement et les institutions et aboli la Constitution qu'avait fait adopter Alpha Condé en 2020 et dont il s'était servi pour briguer la même année un troisième mandat, malgré des mois de contestation meurtrière. Au sein des états-majors politiques, l’heure est à la prudence.

Avec notre correspondant à Conakry, Mouctar Bah  Cette nouvelle irruption de l’armée dans le jeu politique guinéen n’est pas sans provoquer des interrogations. Continuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE

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