Le débat fait rage après la publication d'un communiqué du syndicat des enseignants du Tchad (SET), le 1er septembre, qui interdit notamment les réunions des membres de Wakit Tama dans son siège. Avant cela, des partis politiques membres de la coordination des actions citoyennes avaient suspendu leur participation évoquant « des divergences de méthodes ». Les membres de Wakit Tama se défendent et assurent que la mobilisation est toujours bel et bien là.
Avec notre correspondante à Ndjamena,