Pointé du doigt dans le scandale Pegasus, le Maroc dénonce une campagne médiatique mensongère. Le pays est l'un des principaux États indexés depuis le début de la semaine par un consortium de 17 journaux internationaux pour son utilisation du logiciel de surveillance israélien. L'affaire a pris une tournure encore plus embarrassante avec la révélation que des numéros de politiques français, dont l'un de ceux du président Macron, pourraient être la cible de tentative d'espionnage.