A Tunis, la colère des jeunes du quartier de Sidi Hassine est toujours palpable, six jours après la mort suspecte d’un jeune pendant son interpellation par la police. Les associations des droits de l’homme, syndicats, magistrats et avocats dénoncent les violences policières.
Avec notre correspondante à Tunis, Lilia Blaise
La nuit était encore tendue dans le quartier populaire de Sidi Hassine à l’ouest de ...