Dans l’atelier d’art du sculpteur Abdul Aziz Mohamadu à Accra, on trouve des masques singuliers. Fabriqués à la main, mais conçus par une intelligence artificielle. Le procédé est simple : les algorithmes engrangent des milliers d’images de véritables masques artisanaux et à partir de ces données, en créent de nouveaux. Est-ce un procédé révolutionnaire ? Ou une triste nouvelle pour la création artistique, qui se nourrit aussi de l’inventivité des hommes ?