Les pourparlers indirects qui se sont tenus ce lundi à Moscou entre les deux principaux protagonistes du conflit libyen, le chef du gouvernement reconnu par l'ONU, Fayez el-Sarraj, et l'homme fort de l'Est, le maréchal Khalifa Haftar, ont permis des « progrès » sans toutefois aboutir à un accord de cessez-le-feu inconditionnel et illimité.
Avec notre correspondant à Moscou,Daniel Vallot
À l’issue de cette journée de discussions, du « progrès » a été enregistré, a déclaré, en fin de journée, Sergueï Lavrov, le chef de la diplomatie russe.
L’accord de cessez-le-feu a été signé par l’un des deux belligérants, à savoir Fayez el-Sarraj, le chef du gouvernement de Tripoli mais