Les avocats de Laurent Gbagbo tentent d’obtenir de la Cour pénale internationale une révision des conditions qui avaient été imposées à sa libération lors de son acquittement le 15 janvier. Assigné à Bruxelles commune, l’ancien chef d’État conteste cette décision et estime qu’elle l’empêche de participer à l’élection présidentielle prévue en 2020.