Dans quelques semaines, l'Union européenne doit décider de renouveler les mécanismes engagés contre une quinzaine de personnalités congolaises. Lorsqu'il s'est rendu à Bruxelles, le président Tshisekedi a demandé à ce qu'elles soient assouplies. Certains États européens plaident dans le même sens, mais des ONG mettent en garde contre l’impunité.
La semaine dernière, au Conseil des droits de l’homme de l'ONU, le nouveau ministre congolais des Droits humains, un proche de Lambert Mende, lui-même sous sanctions, a été catégorique sur le sujet : Continuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE