C'était la quatrième audience ce samedi 7 septembre du procès d’Omar el-Béchir. Destitué par l'armée en avril, l'ex-président comparaît pour « corruption » après la saisie dans sa résidence d'importantes sommes d'argent en liquide. Il risque 10 ans de prison.
La défense d'Omar el-Béchir veut montrer avant tout que l'ancien président ne s'est pas enrichi personnellement. Fin août, l'ancien tout-puissant chef de l'État a reconnu avoir notamment reçu plus de 25 millions d'euros du prince héritier saoudien Continuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE