Les forces nationales somaliennes doivent en théorie assurer elles-mêmes la sécurité du pays à partir de décembre 2021, date à laquelle les 20 000 soldats de l’opération africaine AMISOM quitteront le pays. Sous-équipée, mal entraînée, gangrénée par la corruption, l’armée somalienne n’est pas prête à prendre le relais, disent les experts. Mais le pouvoir somalien veut montrer que des progrès sont faits.