Un compromis a été trouvé au Soudan le 5 juillet entre les putschistes au pouvoir à Khartoum et la coalition civile. Il prévoit un partage du pouvoir pendant un peu plus de trois ans. Selon une enquête d’Associated Press, pression diplomatique et rencontres secrètes ont permis à l’accord d’aboutir.
L’impulsion serait venue de Washington et notamment, selon Associated Press, grâce à la nomination de Donald Booth comme envoyé spécial au Soudan le 12 juin. Les Américains ont d’abord mis la pression sur leurs propres alliés, Arabie Saoudite,...