La France adopte-t-elle la bonne distance dans son traitement de la crise algérienne ? Après un mois de quasi mutisme, Emmanuel Macron est sorti du silence pour saluer les annonces d'Abdelaziz Bouteflika et demander une transition « raisonnable ». Une position en retrait alors que la contestation a repris de plus belle mardi 12 mars en Algérie. Une position qui divise au sein de la classe politique française.
« Là-dessus, je n'ai pas forcément à chercher à me distinguer de ce que fait le pouvoir actuel. » Le Premier secrétaire du Parti socialiste Bruno Faure, comme le député Les Républicains Damien Abad...